GAZA

Le sourire d’un enfant, c’est la chose la plus simple, la plus authentique et la plus précieuse de notre société. L’enfance, c’est innocence, légèreté, espoir. Rien n’est plus vrai, plus sincère que le sourire d’un enfant. Mais à Gaza, il y a encore peu de temps, ces enfants souriaient. Cela signifiait qu’il y avait de la joie, de l’amour, un peu de paix dans ce pays.

Aujourd’hui, ces enfants ne sourient plus. Pourquoi ? Parce qu’ils ont tout vu, tout vécu. Les horreurs qu’ils ont traversées, la violence à laquelle ils ont été confrontés, les pertes qu’ils ont subies, tout cela a brisé leur innocence. Un enfant qui ne mange plus à sa faim, c’est un enfant traumatisé, un adulte brisé avant même d’avoir eu la chance de grandir. Ils ont tout perdu : leur futur, leur insouciance, leur innocence.

Nous sommes tellement habitués aux images de Gaza détruite, aux corps mutilés, à la misère et à la tristesse, que nous en oublions une chose fondamentale : il fut un temps où la Palestine était un pays plein de vie, où il faisait bon vivre, où l’espoir semblait possible. Un temps où Gaza était synonyme de jeunesse, de rêve, de paix.

Porte ce pull de 180 grammes de coton, et rappelle au monde cette vérité cruelle : l’horreur qu’on inflige à ce peuple, c’est la destruction d’un peuple pacifique, d’un peuple qui n’a jamais voulu la guerre, mais qui a été réduit en cendres par la haine, la brutalité et l’indifférence. Rappelle que, avant la barbarie, la Palestine était un pays vibrant, chaleureux, où la vie coulait encore.

Il ne faut pas oublier que derrière chaque image de dévastation, il y a un peuple qui pleure, un peuple qui rêve encore d’un avenir, d’une paix qu’on leur refuse. Nous devons nous souvenir que leur passé était plein de bonheur, de fraternité et d’espoir. Parce que la mémoire de leur histoire, c’est notre responsabilité. Et si nous n’agissons pas, leur douleur deviendra l’histoire que tout le monde aura oublié.