ROTHSCHILD

Si j’étais un Rothschild, je vous paierais tous un grec. Oui, un vrai, avec sauce blanche, frites qui débordent et le pain qui craque. Pas un cocktail à 300 balles dans un palace, non — un grec, ce truc simple, cheap et sacrément réconfortant qu’on s’arrache quand le compte en banque fait la grimace.

Parce que voilà le truc : les Rothschild, ils ont la thune pour acheter la moitié du monde, mais quand il s’agit de « partager un kebab », c’est plus compliqué. Ils s’occupent plutôt de trucs comme les banques, les actions et les paradis fiscaux. Nous, on s’occupe de l’essentiel : bien manger avec 5 euros en poche.

Enfile ce pull et affiche la vérité qui pique : « Si j’étais un Rothschild, je vous paierais tous un grec ». Parce qu’au fond, c’est ça la vraie richesse — savoir qu’un petit sandwich peut réunir tout le monde, et que l’humour vaut bien plus que les millions.

Alors, t’es team grec ou team palace ? Moi je choisis le grec, chaud, gras, et toujours dispo.